Il y a peu encore, Eragon n'était qu'un simple garçon de ferme, et Saphira, son dragon, une étrange pierre bleue ramassée dans la forêt... Depuis, le sort de plusieurs peuples repose sur leurs épaules. De longs mois d'entraînement et de combats, s'ils ont permis des victoires et ranimé l'espoir, ont aussi provoqué des pertes cruelles. Or, l'ultime bataille contre Galbatorix reste à mener. Certes, Eragon et Saphira ne sont pas seuls, ils ont des alliés : les Vardens conduits par Nasuada, Arya et les elfes, le roi Orik et ses nains, Garzhvog et ses redoutables Urgals. Le peuple des chats-garous s'est même joint à eux avec son roi, Grimrr Demi-Patte. Pourtant, si le jeune Dragonnier et sa puissante compagne aux écailles bleues ne trouvent pas en eux-mêmes la force d'abattre le tyran, personne n'y réussira. Ils n'auront pas de seconde chance.
Tel est leur destin. Il leur faut renverser le roi maléfique, restaurer la paix et la justice en Alagaësia.
Quel que soit le prix à payer.
L'Héritage, tome 4 de Christopher Paolini, 888, Bayard Jeunesse, 2012
Mon avis : Pour commencer, vous excuserez la pauvreté de cette chronique mais étant malade depuis plus d'une semaine, mon cerveau a un peu de mal à se mettre en route. Par ailleurs cela fait un petit moment maintenant que j'ai lu le livre donc je n'ai plus trop les détails en tête...
Cela faisait une éternité que j'avais laissé de côté ce cycle de livres. À tel point que j'ai eu beaucoup de mal à me remettre dans l'histoire. Moi qui n'aime pas les rappels sur les tomes précédents, pour le coup ça m'a bien servi. Si la reprise a été difficile pour autant c'était un plaisir de retrouver tous ces personnages que j'avais délaissés, que ce soit Eragon, Arya, Roran, ou encore Nasuada, et bien évidemment Saphira. Comme pour les tomes précédents, il se lit très facilement, avec des fins de chapitre qui nous tiennent en haleine.
Dans ce livre, beaucoup de personnages font preuve de détermination et de force morale, et plus particulièrement Nasuada qui va vivre des heures bien sombres. D'autres personnages vont nous surprendre avec parfois de l'aide que l'on aurait jamais imaginé.
J'ai particulièrement apprécié la fin du livre qui loin d'être négative, n'est pour autant pas totalement positive. On n'est pas sur un Happy End parfait. En particulier, Eragon va devoir faire un choix pour son avenir, et pas seulement le sien. C'est précisément ce choix qui permet de démarquer le livre dans le sens où on n'est pas sur quelque chose d'attendu et même si il est en paix avec cette décision, ce n'est pour autant pas celle qu'on aurait souhaité pour lui. Il trouve le courage de faire un choix que beaucoup n'auraient sans doute pas fait à sa place.
Tel est leur destin. Il leur faut renverser le roi maléfique, restaurer la paix et la justice en Alagaësia.
Quel que soit le prix à payer.
L'Héritage, tome 4 de Christopher Paolini, 888, Bayard Jeunesse, 2012
Mon avis : Pour commencer, vous excuserez la pauvreté de cette chronique mais étant malade depuis plus d'une semaine, mon cerveau a un peu de mal à se mettre en route. Par ailleurs cela fait un petit moment maintenant que j'ai lu le livre donc je n'ai plus trop les détails en tête...
Cela faisait une éternité que j'avais laissé de côté ce cycle de livres. À tel point que j'ai eu beaucoup de mal à me remettre dans l'histoire. Moi qui n'aime pas les rappels sur les tomes précédents, pour le coup ça m'a bien servi. Si la reprise a été difficile pour autant c'était un plaisir de retrouver tous ces personnages que j'avais délaissés, que ce soit Eragon, Arya, Roran, ou encore Nasuada, et bien évidemment Saphira. Comme pour les tomes précédents, il se lit très facilement, avec des fins de chapitre qui nous tiennent en haleine.
Dans ce livre, beaucoup de personnages font preuve de détermination et de force morale, et plus particulièrement Nasuada qui va vivre des heures bien sombres. D'autres personnages vont nous surprendre avec parfois de l'aide que l'on aurait jamais imaginé.
J'ai particulièrement apprécié la fin du livre qui loin d'être négative, n'est pour autant pas totalement positive. On n'est pas sur un Happy End parfait. En particulier, Eragon va devoir faire un choix pour son avenir, et pas seulement le sien. C'est précisément ce choix qui permet de démarquer le livre dans le sens où on n'est pas sur quelque chose d'attendu et même si il est en paix avec cette décision, ce n'est pour autant pas celle qu'on aurait souhaité pour lui. Il trouve le courage de faire un choix que beaucoup n'auraient sans doute pas fait à sa place.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire