Attention risque de spoilers sur le premier tome... vous êtes prévenus !
La Fenêtre de Dieu a livré ses secrets.
Abasourdi, Tolbiac se réfugie dans une quête mystique autour du monde. Mais tôt ou tard il lui faudra rentrer, car la famille s'est agrandie et de nombreuses missions l'attendent.
Parallèlement, Marie-Constance de Morsan, sa mère biologique, poursuit sa fulgurante ascension.
Tolbiac Juillet, tome 2 : En bord de mère de Cédric Blondelot, 310 pages, The Book Edition, 2018
Mon avis : Le premier tome des aventures de Tolbiac, La fenêtre de Dieu, avait été un coup de cœur. J'avais hâte de découvrir le tome 2. Finalement mon avis est plutôt mitigé. Forcément, je ne savais pas à quoi m'attendre. Il est évident que l'auteur ne peut pas appliquer le principe du premier tome aux livres suivants, sinon ce serait juste du réchauffé. Donc je ne m'attendais, bien entendu, pas à une redite du premier livre et je ne l'espérais pas.
Dans ce tome, on retrouve Tolbiac qui est de retour chez lui. Son père va lui demander de partir retrouver sa demi-sœur aux États-Unis. En réponse à cette demande, Tolbiac se retrouve à faire un tour du monde à l'opposé absolu d'où est supposée se trouver sa demi-sœur. Pendant son voyage, il a, de temps en temps, des échos sur sa mère biologique qui monte de plus en plus haut sur la scène politique.
La plume de Cédric Blondelot est toujours aussi addictive. On retrouve toujours cette ambiance légère et burlesque à la fois. On s'attache tout autant au personnage de Tolbiac que dans le premier tome. Mais j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Je ne voyais pas du tout où l'auteur voulait nous amener avec ce tour du monde de Tolbiac. Finalement dans la deuxième partie, j'ai compris pourquoi il avait fait ça. Mais pour autant j'ai trouvé un peu dommage de passer pratiquement la moitié du roman sur un tour du monde qui, je trouve, ne fait pas avancer le schmilblick. J'ai été à deux doigts, de fermer le livre. Je ne doute pas que certains ont été passionnés par les pérégrinations de Tolbiac et par ce qu'il va découvrir et vivre tout au long de son voyage. Mais pour ma part, je n'ai pas du tout été réceptive.
Je me suis accrochée malgré tout en me disant "le premier tome a été un coup de cœur, c'est pas pour rien, il va bien finir par se passer quelque chose qui va m'intéresser". Et j'ai bien fait puisque, un peu avant la moitié du livre, on va enfin commencer à entrer dans le vif du sujet. Là les évènements vont commencer à s'enchaîner. Et j'ai vraiment, à ce moment-là seulement, commencé à retrouver l'ambiance que j'avais aimé dans le premier tome.
Pour autant cette deuxième partie n'est pas parfaite. J'étais contente qu'il se passe des choses, mais on avance peu sur le sujet de la famille de Tolbiac. Ceci dit, ça passe comme une lettre à la poste. J'ai dévoré cette deuxième partie. Mais quand on arrive à la fin, qu'il reste peu de pages et qu'on réalise qu'en fait Tolbiac a très peu avancé sur la situation... on est un peu frustré... Et finalement avec la dernière page, et du recul par rapport à cette lecture, je me rends compte qu'il s'agit d'un livre de transition. Je ne vous en dis pas plus, je ne vais pas vous révéler la fin.
Quoiqu'il en soit, malgré cette lecture mitigée, je n'ai aucun doute que j'irai sur le troisième tome qui risque d'être riche en évènements.
La Fenêtre de Dieu a livré ses secrets.
Abasourdi, Tolbiac se réfugie dans une quête mystique autour du monde. Mais tôt ou tard il lui faudra rentrer, car la famille s'est agrandie et de nombreuses missions l'attendent.
Parallèlement, Marie-Constance de Morsan, sa mère biologique, poursuit sa fulgurante ascension.
Tolbiac Juillet, tome 2 : En bord de mère de Cédric Blondelot, 310 pages, The Book Edition, 2018
Mon avis : Le premier tome des aventures de Tolbiac, La fenêtre de Dieu, avait été un coup de cœur. J'avais hâte de découvrir le tome 2. Finalement mon avis est plutôt mitigé. Forcément, je ne savais pas à quoi m'attendre. Il est évident que l'auteur ne peut pas appliquer le principe du premier tome aux livres suivants, sinon ce serait juste du réchauffé. Donc je ne m'attendais, bien entendu, pas à une redite du premier livre et je ne l'espérais pas.
Dans ce tome, on retrouve Tolbiac qui est de retour chez lui. Son père va lui demander de partir retrouver sa demi-sœur aux États-Unis. En réponse à cette demande, Tolbiac se retrouve à faire un tour du monde à l'opposé absolu d'où est supposée se trouver sa demi-sœur. Pendant son voyage, il a, de temps en temps, des échos sur sa mère biologique qui monte de plus en plus haut sur la scène politique.
La plume de Cédric Blondelot est toujours aussi addictive. On retrouve toujours cette ambiance légère et burlesque à la fois. On s'attache tout autant au personnage de Tolbiac que dans le premier tome. Mais j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Je ne voyais pas du tout où l'auteur voulait nous amener avec ce tour du monde de Tolbiac. Finalement dans la deuxième partie, j'ai compris pourquoi il avait fait ça. Mais pour autant j'ai trouvé un peu dommage de passer pratiquement la moitié du roman sur un tour du monde qui, je trouve, ne fait pas avancer le schmilblick. J'ai été à deux doigts, de fermer le livre. Je ne doute pas que certains ont été passionnés par les pérégrinations de Tolbiac et par ce qu'il va découvrir et vivre tout au long de son voyage. Mais pour ma part, je n'ai pas du tout été réceptive.
Je me suis accrochée malgré tout en me disant "le premier tome a été un coup de cœur, c'est pas pour rien, il va bien finir par se passer quelque chose qui va m'intéresser". Et j'ai bien fait puisque, un peu avant la moitié du livre, on va enfin commencer à entrer dans le vif du sujet. Là les évènements vont commencer à s'enchaîner. Et j'ai vraiment, à ce moment-là seulement, commencé à retrouver l'ambiance que j'avais aimé dans le premier tome.
Pour autant cette deuxième partie n'est pas parfaite. J'étais contente qu'il se passe des choses, mais on avance peu sur le sujet de la famille de Tolbiac. Ceci dit, ça passe comme une lettre à la poste. J'ai dévoré cette deuxième partie. Mais quand on arrive à la fin, qu'il reste peu de pages et qu'on réalise qu'en fait Tolbiac a très peu avancé sur la situation... on est un peu frustré... Et finalement avec la dernière page, et du recul par rapport à cette lecture, je me rends compte qu'il s'agit d'un livre de transition. Je ne vous en dis pas plus, je ne vais pas vous révéler la fin.
Quoiqu'il en soit, malgré cette lecture mitigée, je n'ai aucun doute que j'irai sur le troisième tome qui risque d'être riche en évènements.
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