Graziella ! Le charme méditerranéen d'une madone mûrie au soleil marin... Qui pourrait résister à cette lumineuse apparition ? Certes pas le jeune Lamartine... Lui que la tempête, un jour, pousse jusqu'à l'île de Procida !
Premiers frissons d'amour ! Serments volés parmi les vignes et les jardins fleuris d'Italie... Si tout folâtre en elle, son âme enfantine sent bien qu'une humble fille de pêcheur ne pourra retenir le voyageur insouciant...
Que ne ferait-elle pour séduire celui qu'elle aime ! N'ira-t-elle pas jusqu'à revêtir, geste naïf, une robe parisienne qui sied si mal à sa fraîcheur d'insulaire... En vain !
Le drame couve... L'incompréhension grandit... L'entourage, le poids des conventions auront-ils raison d'un amour si pur ? Images obsédantes et cruelles... Le poète se souvient...
Graziella d'Alphonse de Lamartine, 125 pages, Librio, 1996
Mon avis : Dans Graziella, nous suivons le "personnage" de Lamartine (j'ai cru comprendre qu'il y avait des débats pour savoir s'il s'agissait vraiment d'un roman autobiographique... pour ma part je ne cherche pas à entrer dans ce débat). Ainsi le jeune Lamartine va voyager en Italie. Il part de ville en ville, fait des rencontres. Un jour, après avoir échappé à une tempête en mer, il va rencontrer Graziella, la fille d'un pêcheur, avec qui il va nouer une relation d'amitié profonde qui va peu à peu se modifier.
Ce livre est dans ma PàL depuis une éternité. À l'époque où je l'avais acheté, je lisais pas mal de classiques. Cette phase m'étant passée, cela explique le temps qu'il m'aura fallu pour le sortir de ma PàL. Je n'avais jamais lu de livre de l'auteur. Et je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le récit. Au début je pensais que c'était le style d'écriture qui ne me convenait pas, mais finalement à partir du moment où le narrateur rencontre le personnage de Graziella, la lecture m'a semblé beaucoup plus aisée et plus agréable, avec une plume très poétique. La partie qui précède la rencontre était très contemplative et je me lassais de ce que je lisais de ce fait. On découvre l'Italie et tout ses beaux paysages... Mais ça faisait un peu trop pour moi.
Pour autant, même si j'ai réussi à entrer dans l'histoire, ce livre ne m'a pas touchée. C'est une histoire d'amour triste, qui, je n'en doute pas, peut plaire à beaucoup. Mais de mon côté je suis restée hermétique à ce que ressentent les personnages. Le narrateur et Graziella me semblaient surtout très naïfs avec une relation limite mièvre.
Donc non, malgré l'écriture de l'auteur que j'ai aimée, ce livre a été un flop de mon côté. D'une part trop de descriptions et d'autre part trop de bons sentiments auxquels je n'ai jamais su adhérer...
Premiers frissons d'amour ! Serments volés parmi les vignes et les jardins fleuris d'Italie... Si tout folâtre en elle, son âme enfantine sent bien qu'une humble fille de pêcheur ne pourra retenir le voyageur insouciant...
Que ne ferait-elle pour séduire celui qu'elle aime ! N'ira-t-elle pas jusqu'à revêtir, geste naïf, une robe parisienne qui sied si mal à sa fraîcheur d'insulaire... En vain !
Le drame couve... L'incompréhension grandit... L'entourage, le poids des conventions auront-ils raison d'un amour si pur ? Images obsédantes et cruelles... Le poète se souvient...
Graziella d'Alphonse de Lamartine, 125 pages, Librio, 1996
Mon avis : Dans Graziella, nous suivons le "personnage" de Lamartine (j'ai cru comprendre qu'il y avait des débats pour savoir s'il s'agissait vraiment d'un roman autobiographique... pour ma part je ne cherche pas à entrer dans ce débat). Ainsi le jeune Lamartine va voyager en Italie. Il part de ville en ville, fait des rencontres. Un jour, après avoir échappé à une tempête en mer, il va rencontrer Graziella, la fille d'un pêcheur, avec qui il va nouer une relation d'amitié profonde qui va peu à peu se modifier.
Ce livre est dans ma PàL depuis une éternité. À l'époque où je l'avais acheté, je lisais pas mal de classiques. Cette phase m'étant passée, cela explique le temps qu'il m'aura fallu pour le sortir de ma PàL. Je n'avais jamais lu de livre de l'auteur. Et je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le récit. Au début je pensais que c'était le style d'écriture qui ne me convenait pas, mais finalement à partir du moment où le narrateur rencontre le personnage de Graziella, la lecture m'a semblé beaucoup plus aisée et plus agréable, avec une plume très poétique. La partie qui précède la rencontre était très contemplative et je me lassais de ce que je lisais de ce fait. On découvre l'Italie et tout ses beaux paysages... Mais ça faisait un peu trop pour moi.
Pour autant, même si j'ai réussi à entrer dans l'histoire, ce livre ne m'a pas touchée. C'est une histoire d'amour triste, qui, je n'en doute pas, peut plaire à beaucoup. Mais de mon côté je suis restée hermétique à ce que ressentent les personnages. Le narrateur et Graziella me semblaient surtout très naïfs avec une relation limite mièvre.
Donc non, malgré l'écriture de l'auteur que j'ai aimée, ce livre a été un flop de mon côté. D'une part trop de descriptions et d'autre part trop de bons sentiments auxquels je n'ai jamais su adhérer...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire