Une vieille dame riche, Nuala Moore, heureuse de retrouver après vingt ans de séparation la fille de son ex-mari, qu'elle adorait.
Des morts suspectes dans une luxueuse maison de retraite pour milliardaires, Latham Manor, à Rhode Island.
Une ancienne coutume victorienne : attacher à la main des morts un fil permettant d'actionner une clochette à l'extérieur de la tombe, au cas où ils auraient été enterrés vivants.
Et Maggie, jeune et séduisante photographe new-yorkaise, qui a vu ce qu'elle ne devait pas voir.
Tels sont les ingrédients du nouveau roman de Mary Higgins Clark, l'auteur de l'inoubliable Nuit du renard, Grand Prix de Littérature policière 1980, et de douze autres chefs-d'oeuvre du frisson. Une angoisse implacablement distillée qui ne nous laisse pas une seconde de répit.
La Maison du clair de lune de Mary Higgins Clark, 373 pages, Le Livre de Poche, 2001
Mon avis : Dans La Maison du clair de lune de Mary Higgins Clark, on suit le personnage de Maggie qui retrouve son ex belle-mère Nuala après plusieurs années, alors qu'elle est en voyage. Les deux femmes avaient noué une relation très solide et leur complicité revient très rapidement. Malheureusement, Maggie va se retrouver confrontée à plusieurs décès dont un qui ne laisse pas de place au doute quant à une origine criminelle. Elle va alors tenter de percer le mystère de ces morts.
Comme toujours avec l'auteure, j'ai passé un agréable moment avec ce livre, même s'il ne me laissera pas un souvenir impérissable. L'écriture est fluide. Mais comme toujours j'ai ce même reproche pour Mary Higgins Clark de vouloir intégrer un peu de romance à ses livres avec beaucoup de facilités. Une bonne partie du livre un personnage est en colère après un autre, quelques pages suivantes elle lui crie son amour. Sur ce point en particulier, les fins de ses livres se ressemblent quand même pas mal (pour ceux que j'ai lus jusque maintenant du moins). Je dois dire que, dans l'ensemble, les personnages ne m'ont pas vraiment marquée, je ne les ai pas trouvés très fouillés en dehors du personnage de Maggie. L'auteure a tendance à beaucoup se focaliser sur elle, et de ce fait laisser un peu trop les autres de côté.
Pour autant, je me suis vite sentie plongée dans l'ambiance, notamment avec cette ancienne coutume qui voulait qu'on accrochait une clochette au doigt des morts via un système remontant jusqu'à la surface, de façon à ce qu'ils puissent se manifester au cas où il y aurait eu comme qui dirait erreur sur le constat de décès... Mais surtout dès le départ, on sait que Maggie va finir par se retrouver enterrée vivante. Ainsi, tout le long du livre, on attend de savoir comment elle va en arriver là tout en craignant ce moment et tout en se demandant si elle va s'en sortir. Mary Higgins Clark maintient ainsi un bon suspense tout le long du livre.
Malheureusement, du point de vue de l'intrigue, même si je n'avais pas deviné tous les détails, j'avais quand même l'essentiel, à savoir la personne à l'origine des décès. Pour quelqu'un qui est peu habitué aux thrillers, on peu très facilement se laisser avoir par les manigances de l'auteure, mais quand on est habitué du genre, c'est assez évident. Je n'ai donc pas eu beaucoup de surprises.
En définitive, même si j'ai passé un bon moment en lisant La Maison du clair de lune, pour autant c'est loin d'être mon livre préféré de l'auteure...
Des morts suspectes dans une luxueuse maison de retraite pour milliardaires, Latham Manor, à Rhode Island.
Une ancienne coutume victorienne : attacher à la main des morts un fil permettant d'actionner une clochette à l'extérieur de la tombe, au cas où ils auraient été enterrés vivants.
Et Maggie, jeune et séduisante photographe new-yorkaise, qui a vu ce qu'elle ne devait pas voir.
Tels sont les ingrédients du nouveau roman de Mary Higgins Clark, l'auteur de l'inoubliable Nuit du renard, Grand Prix de Littérature policière 1980, et de douze autres chefs-d'oeuvre du frisson. Une angoisse implacablement distillée qui ne nous laisse pas une seconde de répit.
La Maison du clair de lune de Mary Higgins Clark, 373 pages, Le Livre de Poche, 2001
Mon avis : Dans La Maison du clair de lune de Mary Higgins Clark, on suit le personnage de Maggie qui retrouve son ex belle-mère Nuala après plusieurs années, alors qu'elle est en voyage. Les deux femmes avaient noué une relation très solide et leur complicité revient très rapidement. Malheureusement, Maggie va se retrouver confrontée à plusieurs décès dont un qui ne laisse pas de place au doute quant à une origine criminelle. Elle va alors tenter de percer le mystère de ces morts.
Comme toujours avec l'auteure, j'ai passé un agréable moment avec ce livre, même s'il ne me laissera pas un souvenir impérissable. L'écriture est fluide. Mais comme toujours j'ai ce même reproche pour Mary Higgins Clark de vouloir intégrer un peu de romance à ses livres avec beaucoup de facilités. Une bonne partie du livre un personnage est en colère après un autre, quelques pages suivantes elle lui crie son amour. Sur ce point en particulier, les fins de ses livres se ressemblent quand même pas mal (pour ceux que j'ai lus jusque maintenant du moins). Je dois dire que, dans l'ensemble, les personnages ne m'ont pas vraiment marquée, je ne les ai pas trouvés très fouillés en dehors du personnage de Maggie. L'auteure a tendance à beaucoup se focaliser sur elle, et de ce fait laisser un peu trop les autres de côté.
Pour autant, je me suis vite sentie plongée dans l'ambiance, notamment avec cette ancienne coutume qui voulait qu'on accrochait une clochette au doigt des morts via un système remontant jusqu'à la surface, de façon à ce qu'ils puissent se manifester au cas où il y aurait eu comme qui dirait erreur sur le constat de décès... Mais surtout dès le départ, on sait que Maggie va finir par se retrouver enterrée vivante. Ainsi, tout le long du livre, on attend de savoir comment elle va en arriver là tout en craignant ce moment et tout en se demandant si elle va s'en sortir. Mary Higgins Clark maintient ainsi un bon suspense tout le long du livre.
Malheureusement, du point de vue de l'intrigue, même si je n'avais pas deviné tous les détails, j'avais quand même l'essentiel, à savoir la personne à l'origine des décès. Pour quelqu'un qui est peu habitué aux thrillers, on peu très facilement se laisser avoir par les manigances de l'auteure, mais quand on est habitué du genre, c'est assez évident. Je n'ai donc pas eu beaucoup de surprises.
En définitive, même si j'ai passé un bon moment en lisant La Maison du clair de lune, pour autant c'est loin d'être mon livre préféré de l'auteure...
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