26 février 2019

N'éteins pas la lumière

« Tu l'as laissée mourir... »

Christine Steinmeyer croyait que la missive trouvée le soir de Noël dans sa boîte aux lettres ne lui était pas destinée. Mais l'homme qui l'interpelle en direct à la radio, dans son émission, semble persuadé du contraire... Bientôt, les incidents se multiplient, comme si quelqu'un avait pris le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s'effondre. Avant que l'horreur fasse irruption.

Martin Servaz, de son côté, a reçu par la poste la clé d'une chambre d'hôtel. Une chambre où une artiste plasticienne s'est donné la mort un an plus tôt. Quelqu'un veut le voir reprendre du service... ce qu'il va faire, à l'insu de sa hiérarchie et de ses collègues.

Et si nos proches n'étaient pas ce que nous croyons ? Et si dans l'obscurité certains secrets refusaient de mourir ? Non, n'éteignez pas la lumière, ou alors préparez-vous au pire...




N'éteins pas la lumière de Bernard Minier, 610 pages, XO Éditions, 2014

Mon avis : Dans N'éteins pas la lumière de Bernard Minier, nous suivons d'un côté Christine qui reçoit un courrier anonyme d'une femme qui semble vouloir mettre fin à ses jours. Tout laisse supposer que cette lettre ne lui est pas destinée, jusqu'à ce qu'un homme lui laisse un message en direct sur son émission de radio, l'accusant d'avoir laissé une femme mourir. Rapidement, les évènements se cumulent, et Christine ne se sent plus en sécurité nulle part.
D'un autre côté, nous suivons le personnage de Martin Servaz, qui est en arrêt de travail, et qui reçoit, anonymement, une clé de chambre d'hôtel dans laquelle une jeune femme s'est suicidée. Il va alors mener l'enquête pour comprendre quel message on veut lui faire passer.

J'ai un avis un peu mitigé sur ce livre. Je l'ai lu avec Gwen du Notebook de Gwen le weekend dernier. On s'est lu les 600 pages sur le weekend. Donc je ne peux clairement pas dire que je n'ai pas aimé vu la rapidité à laquelle je l'ai lu. Mais je me suis sentie frustrée. Ce livre est le troisième opus de la saga mettant en scène Martin Servaz. On s'attend donc à voir Martin Servaz en action. Mais on ne le croise pas beaucoup finalement. Le ton est très différent des livres précédents. La majeur partie du livre est centrée sur le personnage de Christine. J'attendais le moment où Martin allait entrer en action pour de bon et faire avancer les choses une bonne fois pour toute. Ne voyant pas ce moment arriver, je commençais sérieusement à avoir le sentiment que ça piétinait au niveau de l'histoire.

Mais comme je l'ai dit plus haut, j'ai aimé. Je l'ai littéralement bouffé ce roman. Si dès le départ j'avais eu en tête l'idée que ce n'est pas un livre faisant partie de cette saga, j'aurais été beaucoup moins frustrée. Ici, on est sur du thriller psychologique pur et dur avec une Christine qui n'est soutenue par personne, que ce soit ses proches, ses collègues ou même la police, face au harcèlement qu'elle subit. Elle va vivre un véritable cauchemar. Bernard Minier retranscrit parfaitement les phases émotionnelles par lesquelles elle passe. Du reste il a l'art de maintenir une atmosphère oppressante tout au long du livre. Sur certains passages j'étais sur le qui-vive. J'ai trouvé qu'il était plus sombre que les livres précédents, Glacé et Le Cercle.

Christine m'a fait l'effet d'un personnage assez fort. Soyons franc, si j'avais vécu la moitié de ce qu'elle a vécu (à peine), j'aurais été bonne pour la crise cardiaque. On la voit prendre certaines initiatives assez dangereuses pour tenter de démasquer celui qui la harcèle. Autant dire qu'elle n'a pas froid aux yeux malgré une santé qui se dégrade de plus en plus sur le plan psychologique.
Martin quant à lui traverse une épreuve très difficile. Il a beaucoup de mal à se relever. D'une certaine façon, ce mystère qu'il essaie de résoudre est un peu ce qui va l'aider à se remettre sur pied.

Du point de vue de l'intrigue, j'ai été totalement bluffée. J'étais persuadée, très rapidement d'avoir le coupable en tête. Non seulement j'étais frustrée de ne pas beaucoup voir Servaz mais en plus j'étais blasée. Ça sentait le réchauffé à plein nez... Zéro pointé sur toute la ligne pour moi. L'auteur nous balance un énorme twist à 100 pages de la fin à peu de chose de près. Et là il m'en a envoyé plein les yeux. On a encore un autre rebondissement par la suite, mais que, pour ma part, j'avais vu venir.
Enfin, les dernières pages nous font dire que c'est plutôt un livre de transition en nous laissant présager du très lourd pour le tome suivant.

Donc, au final, très bonne lecture sur le thème du thriller psychologique, si on met de côté le fait que c'est un roman qui fait partie de la saga Martin Servaz. Par contre j'ai trouvé que c'était un peu long avec des passages où ça piétine. 600 pages pour concentrer le plus important dans les 100 dernières pages, c'était un peu trop... mais ça ne m'a pas empêchée de le dévorer.

24 février 2019

Le voyage de Monsieur Perrichon

Monsieur Perrichon n'est pas Monsieur Dumollet. Un carrossier qui a une voiture ne monte pas à baudet. Il voyage en chemin de fer. Le voilà donc parti, flanqué de sa femme et suivi de sa fille Henriette, si douce, si blonde... Lyon, Genève et enfin Chamonix...

L'homme aime à philosopher... " Que l'homme est petit quand on le contemple du haut de la mère... de glace ! " se plaît-il à répéter... Mais contre toute attente, le bourgeois fait une chute de cheval et roule au-dessus du précipice.

L'abîme n'est pas là où il pense ! Sous prétexte de lui venir en aide, Armand et Daniel, deux jolis cœurs amoureux d'Henriette, vont le faire tomber de son piédestal...

Hasard et méprises, péripéties burlesques et bouffonnes bouleversent la vie de ce fantoche...


Le voyage de Monsieur Perrichon d'Eugène Labiche

Le voyage de Monsieur Perrichon d'Eugène Labiche, 92 pages, Librio, 1998

Mon avis : Le voyage de Monsieur Perrichon est une pièce de théâtre. Je n'en avais pas lu depuis bien longtemps. On est clairement sur de la comédie. Nous faisons la connaissance de Monsieur et Madame Perrichon et leur fille, Henriette, qui s'apprêtent à partir en voyage. Ils ne le savent pas encore mais ce voyage va se faire en présence d'Armand et Daniel qui cherchent à obtenir les faveurs d'Henriette.

Sans être exceptionnelle, cette lecture m'a permis de faire une pause sympathique, sur un ton léger, entre deux thrillers. La pièce se lit très facilement. Soyons honnête, ce n'est pas crédible pour un sou : le principe de deux hommes qui se prêtent main forte l'un l'autre pour faire la cour à la même femme... ce n'est pas tous les jours que ça se rencontre... Mais ! c'est un peu le principe d'une pièce de théâtre. Quand on lit ce genre de texte on sait déjà qu'on va passer un bon moment (dans l'idéal) et qu'on va forcément voir des scènes bien loin de la réalité. Et ça passe comme une lettre à la poste.

Les personnages sont rapidement attachants. Monsieur Perrichon est un peu beaucoup tête à claque, mais on l'aime quand même. L'un des deux personnages qui cherche à attirer l'attention d'Henriette, m'a fait pitié. Le pauvre m'a vraiment fait mal au cœur. Je ne vous dirai pas lequel entre Armand et Daniel... je ne vais pas tout vous dévoiler quand même !

Bref, encore une fois ce fût une lecture fort sympathique qui m'aura permis un bon moment de détente. Mais ce n'est clairement pas mon style de prédilection, et je n'en lirais sûrement pas tous les jours sous peine de très très vite me lasser.

22 février 2019

Le mystérieux Mr Quinn

Personne ne remarque jamais la présence de Mr Satterthwaite, ce vieux gentleman aimable et effacé. Pourtant, on aurait tort de le prendre pour un personnage falot. Invité dans les manoirs de la gentry, en villégiature sur la Riviera... où qu'il aille, des drames éclatent. Spectateur discret et attentif, il n'attend que le signe de Mr Quinn pour entrer en scène. Ensemble, ils démasquent les coupables et innocentent les victimes. Ensemble ? Satterthwaite serait-il plus qu'un instrument entre les mains de Mr Quinn ? Le mystérieux Mr Quinn, dont le visage reste toujours dans l'ombre... l'homme providentiel, le justicier insaisissable...

Le mystérieux Mr Quinn d'Agatha Christie

Le mystérieux Mr Quinn d'Agatha Christie, 156 pages, Librairie des Champs-Élysées, 1997

Mon avis : Dans cette chronique, je vous présente Le mystérieux Mr Quinn et Mr Quinn en voyage. Initialement il n'y a qu'un seul livre qui a été partagé en deux à la traduction. Ça me semble donc plus cohérent de présenter les deux d'un coup. Tout au long de nouvelles qui se succèdent, nous croisons le chemin de Mr Satterthwaite, qui se retrouve régulièrement invité dans les hautes sphères, ou que l'on croise en voyage. A l'occasion du nouvel an, Mr Satterthwaite est invité au château de Royston. Au fil de la soirée, une ancienne histoire de suicide est évoquée, affaire qui est toujours restée mystérieuse... jusqu'à ce que Mr Quinn fasse son entrée. Sa "spécialité" : faire cogiter les uns et les autres sur d'anciennes énigmes de façon à les résoudre... et ça fonctionne !

Mr Satterthwaite est le personnage central, un personnage auquel on s'attache très rapidement. Du genre discret, il devient de plus en plus observateur au fil des pages. On voit vraiment son personnage évoluer sous l'influence de Mr Quinn.
Quant à Mr Quinn, comme le titre du livre l'indique, il est mystérieux ! À un moment j'ai trouvé que la coïncidence qu'il arrive systématiquement à point nommé, était très, trop, grosse... mais une fois qu'on commence à comprendre qui est le personnage... on commence à voir les choses autrement. Mais je ne vous en dis pas plus.

Au bout de quelques nouvelles j'ai commencé à me demander pourquoi Mr Quinn était mis en avant dans le titre, alors que c'est Mr Satterthwaite qui est le personnage pivot de chaque nouvelle, celui qui finit par élucider tous les mystères. Et finalement j'ai commencé à comprendre quand l'auteure a commencé à délivrer des informations de façon très ponctuelle et très mystérieuse sur Mr Quinn. Agatha Christie nous embarque dans un style que je ne lui connaissais pas et qui m'a vraiment agréablement surprise.

Alors, je ne dirais pas que la lecture de ces deux livres m'a littéralement scotchée, mais comme toujours avec l'auteure j'ai passé un excellent moment, et j'ai vraiment apprécié le chemin qu'elle a pris ici.

21 février 2019

La fille sous la glace

La glace a immortalisé sa jeunesse, sa beauté… et son mystère : qui était vraiment Andrea ? Victime ou manipulatrice ?
Encore marquée par la mort en service de son mari, l’inspectrice Erika Foster découvre son nouveau poste dans un commissariat de Londres. Premier jour, première affaire et non des moindres : le corps d’Andrea Douglas-Brown, fille d’un riche industriel, a été retrouvé dans le lac gelé du Horniman Museum de Forest Hill. Que faisait la jeune femme mondaine dans ce quartier mal famé ? Effondrée par la disparition d’Andrea, sa famille semble pourtant redouter ce que l’enquête pourrait dévoiler d’eux. Hasard ? Vengeance ? Crime passionnel ? Pour faire éclater la vérité, Erika Foster devra faire la lumière entre règne des apparences et sombres secrets.


La fille sous la glace de Robert Bryndza

La fille sous la glace de Robert Bryndza, 497 pages, France Loisirs, 2017

Mon avis : Le corps d'une jeune femme issue d'un milieu relativement aisé est retrouvé pris au piège sous la glace d'un lac dans un quartier mal fréquenté. Erika Foster se retrouve à devoir enquêter sur le meurtre alors qu'on lui avait assuré une reprise en douceur suite à la mort de son mari.
Pour corser le tout, la famille de la victime, tente de mettre des bâtons dans les roues à Erika en essayant par tous les moyens de la faire dessaisir de l'enquête.

La fille sous la glace est le premier livre de Robert Bryndza. J'ai plutôt bien adhéré à la plume de l'auteur qui a un style fluide. Il nous plonge dans les bas-fonds de Londres entre prostitution et bars louches, mais aussi intrigues politiques.

L'auteur se centre beaucoup sur le personnage d'Erika Foster dont le passé est très lourd. Elle a perdu son mari en service, sous ses yeux et reste traumatisée par cet évènement brutal. Le fait de devoir enquêter dès son retour n'est pas aidant pour elle. Par ailleurs elle a un caractère très impulsif et ne sait pas faire dans la diplomatie avec la famille de victime. Elle se plonge à fond dans son travail sans se préoccuper des conséquences et prend à cœur d'élucider l'enquête.
Malheureusement les autres personnages sont très peu développés. On est vraiment axé sur Erika. J'espère donc en découvrir plus sur ses collègues dans les livres suivants (parce que, oui, il s'agit d'une saga).

L'intrigue est plutôt bien ficelée... mais j'avais trouvé l'identité de l'assassin malgré tout. Je ne l'ai pas découvert trop tôt donc ça n'a pas trop gâché ma lecture, d'autant qu'il y a toute une partie de l'intrigue dont je n'avais pas idée. Ça manque peut-être de rebondissements mais ça ne m'a pas dérangée plus que ça. Après tout, pourquoi vouloir faire du rebondissement à tout prix.

Donc au final, c'était une bonne lecture. Et je compte bien suivre l'auteur, parce que, même si :
  • les personnages sont peu développés en dehors du personnage principal ;
  • j'ai deviné l'identité de l'assassin ;
  • on ne cracherait pas sur quelques rebondissement...
... il s'agit clairement d'un premier livre qui permet de présenter le personnage principal, son histoire et sa psychologie, de A à Z. Je pense que le but de ce livre était plus de se concentrer sur le personnage d'Erika que de nous en mettre plein les yeux avec une intrigue de malade... Maintenant j'attends que ce soit le cas avec les livres suivants !

19 février 2019

Le chat noir et autres nouvelles

C'était un chat noir. De mauvais augure, peut-être ? Allez savoir... Il avait pris la suite d'un certain Pluton. Noir, lui aussi. Et que son maître avait pendu. Celui-là fut emmuré vivant par le maniaque. Ce qui ne l'empêcha pas, juste retour des choses, de lui jouer un tour pendable...

En dépit de son nom, Fortunato ne fut guère favorisé par le sort. Voilà un homme qu'on attire dans une cave sous prétexte de lui faire déguster un grand cru... Et qu'on laisse dans le caveau... Drôle d'idée de faire "du vin un linceul"...

Des histoires comme ça n'ont rien de très naturel ! Mais quand s'en mêle l'Ange du bizarre, on a soudain une momie qui parle et se relève de ses bandelettes ou un buveur perdu dans le théâre de ses rêves...

Des récits parfaitement diaboliques...

Le chat noir et autres nouvelles d'Edgar Allan Poe

Le chat noir et autres nouvelles d'Edgar Allan Poe, 91 pages,  Librio, 1999

Mon avis : Il est assez difficile d'aborder ce livre, étant donné qu'il s'agit de nouvelles. Je ne vais pas essayer de les résumer. J'ai peur d'en dire trop sans m'en rendre compte. Globalement j'ai aimé retrouver les écrits d'Edgar Allan Poe. Il y a très longtemps que je n'avais pas lu un des ses livres.

Sans surprise, on est sur du fantastique avec une ambiance relativement sombre. Chaque nouvelle monte crescendo en terme de noirceur.
Je n'ai pas du tout accroché à la nouvelle L'ange du bizarre. Je n'arrivais pas à décrypter ce qui était dit par un des personnages qui a un accent allemand. Le dialogue est retranscrit tel quel, histoire de bien faire comprendre que l'accent est très prononcé... c'est illisible. J'étais tellement occupée à déchiffrer que je n'arrivais pas à me concentrer sur l'histoire autour, qui du reste partait dans tous les sens...
Niveau noirceur, j'avais un peu oublié jusqu'où l'auteur pouvait aller, et une scène m'a comme qui dirait donné envie de vomir sur Le chat noir... ou alors je deviens vraiment trop chochotte... mais quoiqu'il en soit cette nouvelle fait partie de mes préférées.
Je regrette un peu que l'issue pour la plupart des nouvelles soit finalement assez prévisible. Dans l'ensemble, la surprise n'était pas très au rendez-vous.

Donc dans l'ensemble bonne lecture mais je préfère les romans de l'auteur plutôt que les nouvelles... Mais de base je ne suis pas fan des nouvelles en général donc il y a comme qui dirait un biais...

12 février 2019

Le Chandelier d'Or

La menora, l’immense chandelier d’or à sept branches, l’un des objets les plus sacrés du peuple juif… Retrouver ce trésor perdu depuis des siècles constituerait à coup sûr l’une des plus extraordinaires découvertes archéologiques de tous les temps. Quelques mois après avoir localisé l’Atlantide, c’est en tout cas un défi à la mesure de Jack Howard et de son équipe.
De Constantinople aux glaces du Groenland, leurs recherches sous-marines confirment peu à peu les étonnantes révélations d'une carte médiévale... Mais, entre la chute de l'Empire romain et l'apogée du régime nazi, la sainte relique a suscité bien des convoitises. Et dans l'ombre se réveillent ces appétits, loin d'être purement scientifiques...

Le Chandelier d'Or de David Gibbins

Le Chandelier d'Or de David Gibbins, 435 pages, Pocket, 2008

Mon avis : Dans Le Chandelier d'Or, nous retrouvons le personnage de Jack Howard, archéologue, quelques mois après sa découverte de l'Atlantide. Suite à une découverte inattendue, il va partir à la recherche de la menora, le chandelier sacré et perdu du peuple juif, qui est un symbole très important. L'auteur va alors nous faire voyager à tous les coins du globe en compagnie de Jack, Costas et Maria. Entre les romains, les vikings et autres civilisations, on ne sait plus où donner de la tête.

Globalement j'ai bien aimé cette lecture, mais j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de données à digérer. Ces données nous sont fournies toutes ensembles la plupart du temps. Donc on a intérêt à s'accrocher. Sur certains éléments, j'ai fini par m'y perdre pour de bon. En 435 pages, l'auteur nous donne beaucoup d'informations et c'est très voire trop dense. Pour autant le sujet est très intéressant. Pour ma part je suis très friande de tout ce qui se rapporte à l'archéologie. On découvre beaucoup de choses aussi bien sur l'histoire de la menora que sur les vikings, notamment. Ce que j'apprécie dans les livres de David Gibbins, c'est le rappel à la réalité qu'il nous fait à la fin du roman, de façon à bien marquer la frontière entre ce que les historiens et archéologues savent et ce qui relève de la fiction.

Côté personnages, j'ai été un peu embêtée puisque ma lecture d'Atlantis remonte à plusieurs années maintenant. Du coup, ce n'est plus très frais dans ma tête... même pas du tout. Le personnage de Maria était beaucoup mis en retrait pendant une grosse partie du roman. J'ai trouvé ça un peu dommage. L'auteur insiste beaucoup sur Jack et Costas, personnages auxquels on s'attache assez rapidement... un peu plus pour Jack ceci dit puisque la narration, sans que le livre soit écrit à la première personne, se fait plutôt du point de vue de Jack.
J'ai eu beaucoup de mal à "accrocher" aux vilains de l'histoire. En particulier le personnage de Loki, que je n'ai pas trouvé crédible. Ils sont là plus pour ajouter du piment sur la fin, mais ils ne sont pas indispensables au roman (surtout Loki...).

L'aspect thriller ne m'a pas paru très développé. Je trouve "l'étiquette" assez mal choisie pour le coup. À mon sens, on est beaucoup plus sur de l'aventure que sur du thriller (ce qui ne me gène pas puisque j'aime tout autant le côté aventure mais ça peut surprendre quand on s'attend à du thriller).
J'ai eu quelques difficultés sur certaines descriptions notamment par rapport à des péripéties dans un iceberg. Je ne vous en dis pas plus, mais j'ai eu du mal à visualiser les scènes sur cette partie.
Par contre niveau suspense quant à l'avenir des différents personnages, l'auteur sait nous tenir en haleine en les faisant passer par beaucoup d'expériences toutes plus périlleuses les unes que les autres. Le récit est très bien rythmé par ces différents évènements.

En résumé c'est donc un roman que j'ai bien aimé, qui m'a permis d'en apprendre pas mal sur le peuple juif et les vikings entre autre. Dommage que l'auteur nous donne trop d'informations à intégrer d'un coup et que certaines scènes soient difficiles à visualiser.

10 février 2019

In My Mailbox #20

In My Mailbox

Bonjour à tous. J'espère que vous avez passé un bon weekend et que vous ne vous êtes pas envolé ! Dans les Ardennes, le vent et la pluie sont clairement de la partie. Pour ma part si je suis sortie hier pour récupérer un colis et profiter de l'occasion pour faire un peu de marche, aujourd'hui je n'ai pas mis le nez dehors ! J'en ai profité pour réorganiser un peu les bibliothèques de la chambre et du salon.

Aujourd'hui je vous retrouve pour vous présenter mes acquisitions de janvier. Comme vous pourrez le constater, j'ai été beaucoup plus sage qu'en décembre ! Scooby vous présente ça tout de suite. (Les photos datent du weekend dernier... ce qui explique le soleil qui est totalement absent aujourd'hui... j'ai eu le nez fin ! Mais pour le coup, il y avait vraiment trop de soleil).



Chez France Loisirs, je me suis procuré deux policiers/thrillers : Ceux qui te mentent de Nuala Ellwood pour lequel j'ai vu pas mal d'avis positifs passer et La fuite de C. L. Taylor. Sur ce dernier, je n'ai pas souvenir d'avoir vu des retours, mais la couverture m'intriguait et le résumé m'a plutôt donné envie sur le coup. Mais ne me demandez pas de quoi il est question, j'ai une mémoire de poisson rouge. Vous le saurez quand je l'aurai lu ^^.
J'ai également acheté l'intégrale de la saga Lebenstunnel d'Oxanna Hope. Comme je vous le disais dans le précédent In My Mailbox, les couvertures des tomes des éditions Rebelle ne me plaisent pas. Je préfère largement celle-ci, du coup il va, ni vu ni connu, remplacer le tome 1 dans ma PàL. Quant au tome 1 je vais le donner à une amie.
Et enfin, le cinquième tome de la saga de bande-dessinée Elfes, La Dynastie des Elfes noirs a rejoint ma PàL... J'ai le droit de dire que la couverture me fait peur ?



J'ai commandé Les impliqués de Zygmunt Miloszewski via internet. Son thriller Inavouable était dans ma wishlist sur Livraddict. En me renseignant un peu, j'ai découvert que ce n'était pas son premier livre. Du coup j'ai préféré découvrir l'auteur avec son premier livre.
Et enfin, en librairie, j'ai acheté le tome 4 des Enquêtes d'Enola Holmes, Le secret de l'éventail de Serena Blasco. J'adore cette bande-dessinée. Le personnage d'Enola est très attachant. Et j'ai craqué sur le premier tome de Nevermoor, Les défis de Morrigane Crow de Jessica Townsend. Je me dois d'être franche, ce livre me fait de l'œil depuis quelques temps, juste pour la couverture. Et par la suite je n'ai vu que des avis positifs dessus. Difficile de ne pas craquer !

Pour ce début 2019, je suis fière de moi. J'ai réussi à limiter les achats en appliquant mon petit système de points en fonction des livres lus et leur nombre de page. Ma PàL est donc actuellement à 1060 livres, contre 1065 au 1er janvier. J'espère tenir comme ça toute l'année. C'est pas gagné avec les salons du livre. Mais je peux le faire !

En parlant de salon du livre, je suis un peu déçue. Ce weekend je voulais aller au salon des Mines noires à Nœux-les-Mines. Malheureusement ça me faisait pratiquement 6 heures de route aller-retour sur la journée... Pour ma part je fatigue vite au volant. La voiture n'était donc pas une option. J'ai voulu me rabattre sur le train... Mais aucun train ne semble circuler le dimanche par là-bas...

Sur ce, n'hésitez pas à me dire si vous avez déjà lu un de ces livres. Je serai curieuse d'avoir des retours sur La fuite. Et si vous voulez lire un de ces livres, pourquoi ne pas prévoir une lecture commune ? À tout bientôt !

08 février 2019

L'étrange voyage de Théo Gossein, tome 1 : Hospitalia

Théo Gossein est un artiste malade dont le traitement bloque toute créativité. Il vit reclus dans son atelier sans jamais voir personne ; il n’est plus capable de poser une seule couleur sur une toile. Son monde l’oppresse, le terrifie. Alors, comme dans un dernier sursaut salvateur, il décide d’arrêter ses pilules et de sortir de chez lui. C’est le début d’une aventure qui va le mener bien au-delà de son imagination.
Dans ce premier tome, Théo nous livre son carnet de voyage : sa route vers Hospitalia.
Et comme dit Théo « Quand les mouettes ont pied il est temps de virer ».


L'étrange voyage de Théo Gossein, tome 1 : Hospitalia de Malric

L'étrange voyage de Théo Gossein, tome 1 : Hospitalia de Malric, 84 pages, Éditions Underground, 2016

Mon avis : L'étrange voyage de Théo Gossein est un roman graphique. Dans ce premier tome, Hospitalia, nous découvrons le personnage de Théo Gossein. Théo souffre d'une pathologie psychiatrique qui nécessite qu'il prenne pas mal de traitements. Isolé chez lui, il s'est créé son petit monde empli de dessins de sa main. Malheureusement les traitements altèrent ses capacités de dessinateur. Jusqu'au jour où il décide de les arrêter. Pour calmer une "crise" il va alors sortir. À cette occasion il va rencontrer une jeune femme mystérieuse qui va très rapidement disparaître. Il décide alors de partir sur ses traces et celles d'un hôpital psychiatrique à l'aide de quelques indices.

Malric nous plonge dans un univers riche à l'aide d'un personnage plutôt décalé et d'illustrations toutes plus sublimes les unes que les autres. Il utilise différents supports, avec des couleurs différentes selon ces supports. On peut parfois être sur de la narration (Théo étant le narrateur), parfois sur des articles de journaux, des pensées etc... j'ai trouvé l'alternance entre ces différents modes d'écriture très bien amenée. En revanche j'ai trouvé qu'il était parfois difficile de lire le texte. C'est assez rare mais l'auteur a, de temps en temps, fait le choix d'un texte écrit en noir sur un fond foncé... niveau confort de lecture, ce n'est pas le top.

Comme je le disais, Théo est un personnage franchement décalé. On ignore de quelle pathologie psychiatrique il souffre exactement. Mais le fait que ce soit écrit à la première personne rend le récit et les évènements farfelus du fait de cette spécificité du personnage (mais farfelus dans le bon sens).
Quant à la jeune femme qu'il rencontre, on la voit peu finalement. De ce côté j'ai été un peu déçue. Mais je suppose (j'espère) qu'on la retrouvera dans les tomes suivants. C'est un personnage intriguant sur lequel j'ai vraiment envie d'en apprendre plus.
Nous découvrons également les membres d'une troupe ainsi que leurs coutumes. Théo va passer un certain temps avec eux. Je pense que les planches en lien avec cette troupe sont probablement celles que j'ai préférées.

J'ai donc vraiment apprécié cette lecture, et j'ai hâte de découvrir la suite des péripéties de Théo dans le second tome.

05 février 2019

Joyeux Noël, merry Christmas

Après huit ans passés à la présidence des États-Unis, Henry Parker Britland coule des jours heureux auprès de Sandra, dite "Sunday", son épouse, jeune et brillante femme politique.
Mais on n'est pas impunément le couple le plus en vue des médias. Lorsque Tommy, le plus vieil ami d'Henry, est accusé d'avoir assassiné sa maîtresse, lorsque Sunday est enlevée par un réseau terroriste, Henry comprend qu'il lui faut se battre pour défendre son bonheur...
Affaires troubles, enquêtes à haut risque, suspense : la romancière de
La Nuit du renard et de La Maison du clair de lune ne nous attache à ses personnages que pour mieux nous faire partager les affres de l'angoisse...

Joyeux Noël, merry Christmas

Joyeux Noël, merry Christmas de Mary Higgins Clark, 251 pages, Le Livre de Poche, 2001

Mon avis : Oui, je sais, on est en février... mais j'ai lu ce livre fin décembre, et j'ai un peu traîné à rédiger la chronique. Mieux vaut tard que jamais. Ce n'est pas comme si on était en plein été non plus.
Joyeux Noël, merry Christmas de Mary Higgins Clark est un court recueil de 4 nouvelles mettant en scène Sandra, "Sunday", et son époux Henry, ex-président des États-Unis. Dans chacune des nouvelles ils vont se retrouver, d'une façon ou d'une autre à enquêter sur une affaire en jouant aux apprentis détectives.

J'ai trouvé que l'auteure adoptait ici un style un peu différent de ce qu'elle a l'habitude d'écrire, sans doute un peu plus sur le ton des livres qu'elle écrit en collaboration avec Carol Higgins Clark et les livres mettant en scène le personnage d'Alvirah. En soi, cette ambiance plus "légère" n'a rien pour me déplaire, mais là j'ai trouvé que c'était trop poussé. À titre d'exemple, dans la première nouvelle, un ancien ami du couple est accusé de meurtre. Quand ils l'apprennent, ils s'affolent et décident immédiatement de partir le rencontrer pour le soutenir... mais attention : avant d'y aller, petite séance jacuzzi... Je pense que la notion de priorité est à revoir. J'ai quelque fois bien levé les yeux au ciel, je dois l'admettre.
Au-delà de ça, les nouvelles se laissent lire mais n'ont rien de transcendant. La dernière était la seule à capter un peu plus mon attention. C'était d'ailleurs la seule ayant un rapport avec Noël. La deuxième aurait également pu être plus intéressante. Sandra y est enlevée par un ravisseur qui a des exigences bien précises. Mais les réactions de Sandra lors de sa captivité, étaient si peu crédibles que je n'ai pas réussi à accrocher.

Encore un livre de Mary Higgins Clark qui n'aura pas franchement retenu mon attention.

03 février 2019

Bilan janvier 2019



Hello tout le monde ! Il est venu le temps de faire un petit bilan du mois de janvier qui, ma foi, a été relativement productif !

Côté blog, j'ai réussi à trouver mon rythme. Je pense que je resterai sur celui-ci à l'avenir, à savoir un article les mardi, vendredi et dimanche. Il me reste encore une chronique du mois de décembre à mettre en ligne. Je pense m'en occuper ce mardi.

Niveau lecture, j'ai lu tous les livres que j'avais prévus pour la PàL de janvier. Et ils sont tous chroniqués ! Que demande le peuple ? Histoire de terminer le mois, j'ai décidé de lire des petits livres histoire de dézinguer un peu plus vite ma PàL. Je pense rester sur ce principe. Du coup il risque d'y avoir quelques classiques dans les chroniques. En effet, les petits livres qui sont dans ma PàL sont souvent des Librio type Maupassant et compagnie. Ceci dit ce n'est pas mon style de prédilection, donc si j'en ai trop d'un coup, j'irai sûrement vers d'autres livres pour ne pas saturer.

Comme d'habitude je vais vous faire un petit récapitulatif de mes chroniques juste après. Mais il me reste à vous parler des projets que je voulais entamer en janvier... je n'ai encore rien fait... mais ce n'était pas par manque de volonté ou par peur ou quoique ce soit du genre. En fait j'ai vraiment essayé de trouver mon rythme en ce mois de janvier. Ce n'est pas encore parfait. Mes soirées sont bien remplies quand je rentre du boulot. Du reste cela nécessite que je passe des coups de fil en journée, autrement dit en heures ouvrables. Sauf que, quand je suis au boulot, je n'ai clairement pas la tête aux projets personnels... Je pourrais tout à fait me permettre de passer un coup de fil quelques minutes pour du perso mais je n'y pense pas du tout. Donc il y a de fortes chances pour que je concentre tous les coups de fil pendant mon RTT du 11 février... je ne suis pas prête de l'avoir ma maison !

Comme je le disais, mes soirées sont bien remplies. J'arrive toujours à trouver quelque chose à faire. Et surtout j'évite de me caler dans le fauteuil dès que je rentre du boulot. Sinon je suis foutue : fauteuil = malbouffe... et donc le fait de m'occuper m'empêche de penser à la nourriture et donc de prendre du poids. Je ne sais plus si j'en ai déjà parlé ici. Je me souviens m'être confiée sur le sujet sur l'ancien blog. Peut-être que je rédigerai un article dédié à mon rapport à la nourriture et les problèmes de poids associés que j'ai pu connaître. Je dis bien peut-être : ce n'est pas toujours facile d'aborder ce sujet, et surtout c'est très personnel... Toujours est-il que j'avais repris pas mal de poids pendant la phase de rédaction de la thèse. Depuis fin décembre j'essaie de reprendre tout ça en main. Et oui, fin décembre, pile poil pendant les fêtes... la fille qui adore se compliquer la vie ! Et je suis bien contente parce que j'ai réussi à perdre 1,5 kg depuis le début de l'année, je dirai même 2,1 kg depuis l'après-Noël où j'avais atteint le maximum de mon poids (en oubliant les kilos d'il y a quelques années...). Ce n'est peut-être rien pour vous, mais pour moi, en 1 mois c'est un exploit ! Du coup ça me motive d'autant plus. J'aimerais réussir à me recaler des phases de sport dans ma routine quotidienne. Là ça devient plus compliqué. Mais on y croit, je vais réussir ! Motivation, motivation !

Bref, venons-en à ce qui vous amène ici !
Récapitulatif rapide des lectures que j'ai faites en janvier :



J'ai découvert l'auteure Magali Ségura avec l'intégrale de Leïlan, qui a été une lecture bien sympathique dans le monde de la fantasy. Tout n'est pas parfait, mais ça ne m'a pas du tout donné envie de lâcher ce livre malgré ses 1200 pages. Petit détail que j'ai oublié dans la chronique : j'ai trouvé le récit parfois difficile à suivre avec, en particulier, des changements de point de vue de personnages sans séparation dans le texte. Ça nécessite d'être bien concentré pendant la lecture, sinon on ne comprend plus trop si on n'est plutôt du point de vue d'Axel, de Victoire, etc...
J'ai ensuite fait une petite pause bande-dessinée avec le premier tome de Dreams Factory, La neige et l'acier de Jérôme Hamon, Lena Sayaphoum et Suheb Zako, sur lequel j'ai un avis plutôt mitigé. Mais malgré tout j'ai hâte de lire la suite de ce diptyque.
J'ai été très heureuse de retrouver Erica Falck et Patrik Hedström dans Le dompteur de lions de Camilla Läckberg. J'ai trouvé cet opus plus sombre que les autres... mais je suis peut-être trop chochotte...
J'ai été franchement déçue par la lecture de Ne te perds pas en chemin qui s'avère être le deuxième tome d'une saga policière écrite par Margaret Mizushima (mais premier tome traduit en France a priori). Trop prévisible, il ne m'a pas du tout donné envie de découvrir les autres livres de l'auteure.



Les livres suivants n'ont pas encore été chroniqués mais j'ai déjà prévu un bon petit programme de publications tout au long du mois de février.
J'ai découvert, avec beaucoup de plaisir le premier tome de L'étrange voyage de Théo Gossein, Hospitalia de Malric. Il s'agit d'un roman graphique qui nous plonge dans un univers auquel j'ai totalement adhéré. Mais je vous en dis plus tout bientôt !
J'ai renoué avec le seul, l'unique Edgar Allan Poe avec Le chat noir... Pour le moment, je me contenterai de dire qu'un passage de ce livre n'était vraiment pas fait pour moi...
Agatha Christie m'a surprise (dans le bon sens) avec un style que je ne lui connaissais pas dans Le mystérieux Mr Quinn et Mr Quinn en voyage. Je chroniquerai ces deux livres ensemble étant donné qu'initialement ils ne forment qu'un seul ouvrage.



L'Encre et le Sang de Franck Thilliez et Laurent Scalese aura été une lecture très courte... mais quelle lecture ! Je ne comprends pas comment les auteurs ne s'y sont pas perdus. J'ai adoré !
Et pour finir, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire la pièce de théâtre Le voyage de Monsieur Perrichon d'Eugène Labiche. Pas très réaliste mais on passe un excellent moment !

Et voilà, sur ce je vous laisse, en espérant que de votre côté vous avez fait de bonnes lectures et d'excellentes découvertes.

01 février 2019

Book Jar and others #21



Bonjour à tous ! Je vous retrouve en ce bon vendredi soir pour vous présenter ma PàL pour le mois de février. Ce que vous ne savez pas, c'est que je suis ironique quand je dis "bon vendredi soir", parce que je travaille demain, et que, vraiment, j'ai pas envie d'y aller ! :-( Vivement que ça se termine !

Mais soit, vous n'êtes pas ici pour me voir râler. Je laisse Stitch vous présenter les livres que je vais lire ce mois-ci.



Pour ce mois de février, la Book Jar me sert du David Gibbins. J'avais lu Atlantis il y a très, très, très longtemps... C'est une lecture que j'avais beaucoup aimé. Mais je n'avais jamais pris le temps de me pencher sur Le chandelier d'or. Ce n'était pourtant pas l'envie qui manquait. J'ai commencé à le lire ce midi. J'en suis à la page 37 donc difficile de me faire un avis pour le moment... Par contre il faut que je trouve un résumé spoilant d'Atlantis car il y a quelques références, et là j'avoue, je ne m'en souviens plus du tout ! Ça ne devrait probablement pas entâcher ma lecture, mais quand même... j'aime bien savoir de quoi on parle.



Je prévois également de lire La fille sous la glace de Robert Bryndza pour la lecture commune du groupe Facebook IlEstBienCeLivre. Pour le mois de février, il faut lire un roman avec le mot femme ou fille dans le titre. Et en plus, vu le climat du moment c'est tout à fait adapté (à savoir que ce matin j'ai du forcer pour retirer la bâche du pare-brise de la voiture avec toute la glace qui s'était formée pendant la nuit...).
Et enfin, et là j'ai hâte ! Je vais lire N'éteins pas la lumière de Bernard Minier en lecture commune avec Gwen du Notebook de Gwen (sa chaîne Youtube ici et son blog ). La lecture commune des livres de Bernard Minier est devenue une habitude pour nous avec les deux premiers livres de l'auteur, Glacé et Le Cercle. On avait mis en pause pour des raisons diverses, mais c'est reparti, et j'ai hâte ! Du reste là encore, la couverture me semble tout à fait adaptée à la saison.

Comme toujours, n'hésitez pas à me dire si vous avez lu un de ces livres. Si c'est le cas, je serai curieuse de savoir ce que vous en avez pensé.

Et vous, quelles lectures avez-vous prévu ?