Kit Meinem d’Atyar est peut-être le plus doué des architectes de l’Empire. Peut-être… et tant mieux. Car il lui faudra convoquer toutes ses compétences, l’ensemble de son savoir pour mener à bien la plus fabuleuse qui soit, l’œuvre d’une vie: un pont sur le fleuve de brume qui de tout temps a coupé l’Empire en deux. Un ouvrage d’art de quatre cent mètres au-dessus de l’incommensurable, cette brume mortelle, insondable, corrosive et peuplée par les Géants, des créatures indicibles dont on ne sait qu’une chose : leur extrême dangerosité…
Par-delà le pont… l’abîme, et pour Kit une aventure humaine exceptionnelle.
Un pont sur la brume de Kij Johnson, 124 pages, Le Bélial', 2016
Mon avis : Dans Un pont sur la brume, on va découvrir Kit qui a été chargé de mener à bien les travaux de construction d'un pont. Ce pont a pour but ultime de permettre la communication entre deux parties de l'Empire qui a été scindé en deux par une brume. Cette brume est particulièrement dangereuse. Je pense qu'on pourrait la comparer à de l'acide. Jusqu'à maintenant, le seul moyen de rallier les deux côtés de l'empire était par barque, avec tous les risques qui y étaient attenants.
J'avais été très intriguée par la couverture que je trouve vraiment très belle. Autrement dit c'était vraiment un achat "craquage". Finalement, je me sens franchement frustrée en sortant de cette lecture. On va suivre la construction du pont, pas dans les détails mais plutôt dans l'aspect relationnel relatif à ce projet. C'est intéressant de voir comment les habitants des deux rives vont travailler de concert pour mener ce projet à bien, d'assister aux aléas des travaux notamment avec les risques d'accident et comment la population va y réagir. Mais, on ne fait qu'apercevoir le monde que l'auteur évoque. On se pose beaucoup de questions sur l'Empire en général, mais aussi et surtout sur la brume : ce qu'elle est, son origine, les créatures qui y circulent... mais on n'a aucune réponse...
En revanche, les personnages, en particulier Kit et Rasali (qui va l'aider pour le transport d'une rive à l'autre en l'absence du pont) sont rapidement attachants et ce malgré le peu de pages. Par ailleurs la plume de l'auteur est vraiment très agréable.
Je n'ai pas grand chose à dire sur ce livre, à part que oui je suis frustrée par cette lecture qui nous présente un univers qu'on ne fait qu'effleurer.
Par-delà le pont… l’abîme, et pour Kit une aventure humaine exceptionnelle.
Un pont sur la brume de Kij Johnson, 124 pages, Le Bélial', 2016
Mon avis : Dans Un pont sur la brume, on va découvrir Kit qui a été chargé de mener à bien les travaux de construction d'un pont. Ce pont a pour but ultime de permettre la communication entre deux parties de l'Empire qui a été scindé en deux par une brume. Cette brume est particulièrement dangereuse. Je pense qu'on pourrait la comparer à de l'acide. Jusqu'à maintenant, le seul moyen de rallier les deux côtés de l'empire était par barque, avec tous les risques qui y étaient attenants.
J'avais été très intriguée par la couverture que je trouve vraiment très belle. Autrement dit c'était vraiment un achat "craquage". Finalement, je me sens franchement frustrée en sortant de cette lecture. On va suivre la construction du pont, pas dans les détails mais plutôt dans l'aspect relationnel relatif à ce projet. C'est intéressant de voir comment les habitants des deux rives vont travailler de concert pour mener ce projet à bien, d'assister aux aléas des travaux notamment avec les risques d'accident et comment la population va y réagir. Mais, on ne fait qu'apercevoir le monde que l'auteur évoque. On se pose beaucoup de questions sur l'Empire en général, mais aussi et surtout sur la brume : ce qu'elle est, son origine, les créatures qui y circulent... mais on n'a aucune réponse...
En revanche, les personnages, en particulier Kit et Rasali (qui va l'aider pour le transport d'une rive à l'autre en l'absence du pont) sont rapidement attachants et ce malgré le peu de pages. Par ailleurs la plume de l'auteur est vraiment très agréable.
Je n'ai pas grand chose à dire sur ce livre, à part que oui je suis frustrée par cette lecture qui nous présente un univers qu'on ne fait qu'effleurer.
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