Théo Gossein, après avoir arpenté le chemin vers Hospitalia, découvre que l’aventure ne s’arrête pas là. Résultat : il se retrouve sur une machine volante dont le mécanisme lui échappe complètement. Au-dessus, l’infinité du ciel. En dessous, l’immensité d’une mer abyssale et parfaitement inconnue et, au milieu, l’incertitude d’un avenir douteux.
– Donc tu parles de toi à la troisième personne.
Et puis il y a l’autre...
Dans ce deuxième opus, Théo poursuit son carnet de voyage : son chemin sur EOLIA.
Et comme dit Wiki « Si tu avais, ne serait-ce que prêté la moindre attention à la pertinence irréfragable de mes propos éclairés, on n’en serait pas là, mais bien sûr, personne ne m’écoute, moi. Je ne suis que chimère, affabulations, extravagance, hallucination, onirisme... OK, c’est bon, je me calme. N’empêche... »
L'étrange voyage de Théo Gossein, livre deux : Eolia de Malric, 103 pages, Éditions Underground, 2018
Mon avis : Dans Eolia, nous retrouvons Théo qui est toujours à la recherche de cette mystérieuse femme dont il avait fait la rencontre dans le premier tome, Hospitalia. L'auteur nous replonge très rapidement dans l'univers qu'il a construit en nous présentant de nouveaux décors et de nouveaux personnages. J'avoue avoir beaucoup moins accroché que sur le premier tome. J'ai largement préféré notamment les illustrations de l'auteur dans Hospitalia que sur Eolia. Le style est le même, mais je n'ai pas retrouvé ici ce qui m'avait plu dans Hospitalia. Par ailleurs, je ne me suis pas laissée embarquer plus que ça par l'histoire autour des personnages rencontrés dans ce deuxième tome. La part de mystère était beaucoup moins présente.
Pour autant, cela ne signifie pas que je n'ai pas aimé. Je pense que le point fort reste le personnage de Théo Gossein, toujours aussi décalé. Cette fois-ci, le récit se fait à la troisième personne avec, régulièrement, l'intervention de "Wiki", petite voix intérieure de Théo, pas si petite que ça. Les "échanges" loufoques, tournant souvent à la dispute entre les deux, donnent un très bon rythme et permettent de conserver cet aspect totalement décalé du personnage.
J'espère retrouver rapidement Théo dans une nouvelle aventure et savoir où son périple va le mener.
– Donc tu parles de toi à la troisième personne.
Et puis il y a l’autre...
Dans ce deuxième opus, Théo poursuit son carnet de voyage : son chemin sur EOLIA.
Et comme dit Wiki « Si tu avais, ne serait-ce que prêté la moindre attention à la pertinence irréfragable de mes propos éclairés, on n’en serait pas là, mais bien sûr, personne ne m’écoute, moi. Je ne suis que chimère, affabulations, extravagance, hallucination, onirisme... OK, c’est bon, je me calme. N’empêche... »
L'étrange voyage de Théo Gossein, livre deux : Eolia de Malric, 103 pages, Éditions Underground, 2018
Mon avis : Dans Eolia, nous retrouvons Théo qui est toujours à la recherche de cette mystérieuse femme dont il avait fait la rencontre dans le premier tome, Hospitalia. L'auteur nous replonge très rapidement dans l'univers qu'il a construit en nous présentant de nouveaux décors et de nouveaux personnages. J'avoue avoir beaucoup moins accroché que sur le premier tome. J'ai largement préféré notamment les illustrations de l'auteur dans Hospitalia que sur Eolia. Le style est le même, mais je n'ai pas retrouvé ici ce qui m'avait plu dans Hospitalia. Par ailleurs, je ne me suis pas laissée embarquer plus que ça par l'histoire autour des personnages rencontrés dans ce deuxième tome. La part de mystère était beaucoup moins présente.
Pour autant, cela ne signifie pas que je n'ai pas aimé. Je pense que le point fort reste le personnage de Théo Gossein, toujours aussi décalé. Cette fois-ci, le récit se fait à la troisième personne avec, régulièrement, l'intervention de "Wiki", petite voix intérieure de Théo, pas si petite que ça. Les "échanges" loufoques, tournant souvent à la dispute entre les deux, donnent un très bon rythme et permettent de conserver cet aspect totalement décalé du personnage.
J'espère retrouver rapidement Théo dans une nouvelle aventure et savoir où son périple va le mener.
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